Méta resterait il bloqué, accroché, à ses 499 messages ?
Non que je désire le revoir vitipurer sur le forum et flinguer tout ce qui bouge. Mais être si prêt du but, au pied du podim, de la consécration suprême... et le voir faire abstinence, piétiner... c'est pathétique !!!
Et je crains que ce ne soit ma promesse d'une belle recette mayennaise qu'il l'ait rendu "timide".
Alors, en avant première, je vous livre (en cadeau - sur un plateau) ce superbe menu de la mère Ubu (acte 1er - Ubu roi).
soupe polonaise,
côtes de rastron,
veau,
poulet,
pâté de chien,
croupion de dinde,
charlotte russe,
bombe,
salade de fruits,
dessert bouilli,
topinambours,
choux fleurs à la merdre.
Père Ubu :
Eh bien, capitaine, avez-vous bien dîner ?
Capitaine Bordure :
Fort bien, monsieur, sauf la merdre.
Père Ubu :
Eh ! la merdre n'était pas mauvaise.
Mère Ubu :
Chacun son goût.
A la lecture de ce repas, que j'offre à Môsieur méta, je l'imagine aisément babines en alerte, l'oeil humide de l'amicale attention.
Alors après ce gustatif cadeau, il vient le 500 ème message... gentil ?
Certes, on ne demande pas un improbable et douloureux merci (même si l'intention le mérite), juste un petit mot gentil. Mais là, peut être, demandons-nous l'impossible ?
Non que je désire le revoir vitipurer sur le forum et flinguer tout ce qui bouge. Mais être si prêt du but, au pied du podim, de la consécration suprême... et le voir faire abstinence, piétiner... c'est pathétique !!!
Et je crains que ce ne soit ma promesse d'une belle recette mayennaise qu'il l'ait rendu "timide".
Alors, en avant première, je vous livre (en cadeau - sur un plateau) ce superbe menu de la mère Ubu (acte 1er - Ubu roi).
soupe polonaise,
côtes de rastron,
veau,
poulet,
pâté de chien,
croupion de dinde,
charlotte russe,
bombe,
salade de fruits,
dessert bouilli,
topinambours,
choux fleurs à la merdre.
Père Ubu :
Eh bien, capitaine, avez-vous bien dîner ?
Capitaine Bordure :
Fort bien, monsieur, sauf la merdre.
Père Ubu :
Eh ! la merdre n'était pas mauvaise.
Mère Ubu :
Chacun son goût.
A la lecture de ce repas, que j'offre à Môsieur méta, je l'imagine aisément babines en alerte, l'oeil humide de l'amicale attention.
Alors après ce gustatif cadeau, il vient le 500 ème message... gentil ?
Certes, on ne demande pas un improbable et douloureux merci (même si l'intention le mérite), juste un petit mot gentil. Mais là, peut être, demandons-nous l'impossible ?
A partir d'un certain âge, on s'observe moins au dos des grandes cuillères. Nathalie Quintane