L'idée d'une ville en transition est de réduire la consommation de pétrole en déménageant les activités, en utilisant des produits locaux et en renforçant les échanges et la cohésion de la communauté.
L'originalité du concept est que la vision de l'avenir est résolument optimiste, et les crises sont vues comme des opportunités de changer radicalement la société actuelle.
La deuxième originalité est que le mouvement concerne la communauté dans son ensemble, car c'est cette dernière qui doit porter le changement. L'action ne doit pas exclusivement venir des gestes individuels quotidiens, ni des instances politiques via la législation. C'est pourquoi le mouvement des initiatives de transition est apolitique et ne choisit pas les confrontations (manifestations...). Ensuite, le mouvement a développé une théorie psychologique inspirée de celle des traitements des dépendances toxicologiques pour tenter de traduire le désespoir ou le déni souvent consécutif à la découverte du pic pétrolier et de notre dépendance au pétrole, en actions concrètes.
Les Initiatives de Transition sont fondées sur quatre prémisses de base :
1. Nous ne pourrons éviter de vivre en consommant beaucoup moins d'énergie. Il vaut mieux s'y préparer que d'être pris par surprise.
2. Nos lieux de vie et nos communautés manquent de la résilience nécessaire pour survivre aux importants chocs énergétiques qui accompagneront le pic pétrolier.
3. Nous devons agir collectivement et nous devons agir maintenant.
4. En déchaînant le génie collectif de nos proches pour concevoir en avance et avec créativité notre descente énergétique, nous pouvons construire des modes de vie plus reliés, plus enrichissants et qui reconnaissent les limites biologiques de notre planète..
Le nombre de ville en transition dans le monde au 31 décembre 2009 est de 265.
La ville de Totnes en Angleterre (http://www.totnes.transitionnetwork.org/) a été la ville pionnière sous la houlette de Rob Hopkins le permaculteur.
La première ville en transition en France est Trièves (http://aprespetrole.unblog.fr/)
L'originalité du concept est que la vision de l'avenir est résolument optimiste, et les crises sont vues comme des opportunités de changer radicalement la société actuelle.
La deuxième originalité est que le mouvement concerne la communauté dans son ensemble, car c'est cette dernière qui doit porter le changement. L'action ne doit pas exclusivement venir des gestes individuels quotidiens, ni des instances politiques via la législation. C'est pourquoi le mouvement des initiatives de transition est apolitique et ne choisit pas les confrontations (manifestations...). Ensuite, le mouvement a développé une théorie psychologique inspirée de celle des traitements des dépendances toxicologiques pour tenter de traduire le désespoir ou le déni souvent consécutif à la découverte du pic pétrolier et de notre dépendance au pétrole, en actions concrètes.
Les Initiatives de Transition sont fondées sur quatre prémisses de base :
1. Nous ne pourrons éviter de vivre en consommant beaucoup moins d'énergie. Il vaut mieux s'y préparer que d'être pris par surprise.
2. Nos lieux de vie et nos communautés manquent de la résilience nécessaire pour survivre aux importants chocs énergétiques qui accompagneront le pic pétrolier.
3. Nous devons agir collectivement et nous devons agir maintenant.
4. En déchaînant le génie collectif de nos proches pour concevoir en avance et avec créativité notre descente énergétique, nous pouvons construire des modes de vie plus reliés, plus enrichissants et qui reconnaissent les limites biologiques de notre planète..
Le nombre de ville en transition dans le monde au 31 décembre 2009 est de 265.
La ville de Totnes en Angleterre (http://www.totnes.transitionnetwork.org/) a été la ville pionnière sous la houlette de Rob Hopkins le permaculteur.
La première ville en transition en France est Trièves (http://aprespetrole.unblog.fr/)