Les lois sur la parité ont modifié la donne politique sur les scrutins locaux en contraignant les listes à alterner un homme, une femme (les listes chabada comme dit PP).
Un premier bilan de la mandature qui s'achève permet de constater que les hommes héritent toujours des postes dits nobles : budget, développement économique, urbanisme, culture.... Aux femmes, on réserve les postes liés au social, aux écoles et à la jeunesse... Ce qui est assez révélateur de la confiance que l'on accorde a priori à ces dernières pour gérer des dossiers délicats. CGB, en la matière, n'échappe à la règle.
La parité est atteinte bon gré mal gré, mais on est encore loin d'une gestion à égalité de compétences.
Va t-on assister lors des prochaines nominations à une véritable innovation ou le même scénario va t-il se reproduire ?
Un premier bilan de la mandature qui s'achève permet de constater que les hommes héritent toujours des postes dits nobles : budget, développement économique, urbanisme, culture.... Aux femmes, on réserve les postes liés au social, aux écoles et à la jeunesse... Ce qui est assez révélateur de la confiance que l'on accorde a priori à ces dernières pour gérer des dossiers délicats. CGB, en la matière, n'échappe à la règle.
La parité est atteinte bon gré mal gré, mais on est encore loin d'une gestion à égalité de compétences.
Va t-on assister lors des prochaines nominations à une véritable innovation ou le même scénario va t-il se reproduire ?